#EnablingChange

« La solidarité internationale n’est pas une question de choix, où nous investissons soit dans notre propre société, soit dans les personnes dans le besoin dans le reste du monde. La solidarité internationale n’est pas non plus une question de charité. C’est juste une question de bon sens.

Renforcer les populations à travers le monde, c’est aussi renforcer notre propre population. Investir dans la solidarité internationale revient à investir dans l’avenir de chacun·e. »
Caroline Gennez, Ministre de la Coopération au Développement et de la Politique des Grandes Villes

« Le développement du continent africain est une opportunité extraordinaire pour l’Europe et le monde. Dans ce contexte, notre modèle de coopération doit être complètement transformé, et nous sommes fiers des récents changements de stratégie et d’attitude d’Enabel à cet égard. »
Jean Van Wetter, Directeur général - Delphine Moralis, Présidente du Conseil d'administration

Jeunes talents, grandes ambitions

Les jeunes façonnent nos sociétés. Ils saisissent les opportunités qui leur sont offertes et en tirent des idées étonnantes, inspirantes et parfois émouvantes. L'accès à un emploi stable est une condition indispensable pour endosser ce rôle. Avec nos partenaires, nous nous efforçons de faire de cette condition une réalité.

Soutenir l’innovation Palestine, une idée à la fois

Les bureaux de Station J, situés dans le quartier Sheikh Jarrah de Jérusalem-Est, grouillent d’activité. Dans les espaces de bureaux principaux, des jeunes femmes et des hommes travaillent sur toutes sortes de projets et, dans deux salles d’ateliers, des jeunes s’initient aux technologies, aux médias sociaux et à l’impression 3D. Vous pouvez réellement sentir l’énergie dégagée par l’entrechoquement d’esprits en ébullition.

Chargée de projet à Station J, Mariam Khalaf a commencé à travailler pour l’organisation en février 2022. Enseignante de profession — elle donne cours d’anglais —, elle travaille toutefois essentiellement avec des jeunes depuis 8 ans.

« J’adore mon travail à Station J, car il me permet de voir comment évoluent les jeunes adultes. Ils et elles prennent soudain conscience des possibilités qui s’offrent à eux et elles, des choses dont ils et elles n’auraient jamais imaginé l’existence. Nous encourageons un autre mode de pensée. »

Connu en tant que pôle d’innovation, Station J entend être bien plus qu’un simple mot à la mode. Il crée une plateforme permettant aux entrepreneur·es palestinien·nes (débutant·es) et aux jeunes d’échanger des idées et d’acquérir de nouvelles compétences, tout en offrant un espace de coworking aux personnes qui le souhaitent, qu’il s’agisse d’ingénieur·es ou de graphistes.

Enabel a noué un partenariat avec Station J en vue de guider de jeunes innovateur·rices et entrepreneur·es potentiel·les depuis le stade de l’idéation jusqu’aux perspectives d’investissement et d’emploi.

Une voie nouvelle vers le marché de l'emploi

En République démocratique du Congo, nous nous efforçons de briser les barrières entre les classes sociales par le biais de l'action européenne RESICODI, qui renforce le secteur de l'éducation grâce aux technologies numériques.

À Kinshasa, nous avons rénové une salle de classe informatique et organisé une formation d'une semaine au codage en collaboration avec la Kinshasa Digital Academy afin d'offrir aux jeunes de meilleures perspectives sur le marché du travail.

Attention : jeunes en formation

Zoom sur les chantiers formation au Burundi, où nous soutenons l'insertion professionnelle de jeunes lauréats diplômés dans un métier de la construction. Le principe ? Offrir une expérience professionnelle aux jeunes, tout en leur permettant d'acquérir des techniques innovantes de construction et de les mettre en contact avec des acteurs qualifiés.

Au total, ce sont 157 lauréat.es et plus de 350 artisans qui ont été mobilisés sur ces chantiers en 2022.

Construire la résilience climatique

Les pays et communautés développent activement des solutions d'adaptation pour répondre aux impacts actuels et futurs du changement climatique. Selon les pays, les possibilités sont diverses : du biogaz aux centrales hydroélectriques en passant par les pratiques agro-écologiques... les options sont multiples.

L'avenir durable du biogaz domestique

Au Niger, plus de 90% de la population utilise le bois comme source d’énergie pour la préparation des repas. Par ailleurs, son économie repose en grande partie sur l’agriculture et l’élevage. Ce secteur primaire reste vulnérable et le pays subit de plein fouet les conséquences du changement climatique : pluies torrentielles et sécheresse, augmentation des températures, inondations, etc. Combinés aux mauvaises pratiques de l’Homme sur l’environnement, ces phénomènes entraînent une forte dégradation des sols et de la végétation avec pour conséquence l’avancée continue de la désertification.

Enabel expérimente la production du biogaz domestique auprès de 10 familles d’agropasteurs dans les villages de Nawdéo et Rounto Tanda dans la région de Dosso.

« L’utilisation du biogaz nous a permis de réduire d’à peu près 40% la quantité de bois chauffe utilisée ça nous facilite le travail, ça le rend moins pénible et cela nous fait gagner du temps. »
Mme Dérérou, agropasteur dans le village de Nawdéo

En plus de l’impact positif sur l’environnement, le recours au biogaz permet d’augmenter considérablement les chances de scolarisation des enfants à travers le gain de temps réalisé par le fait de ne plus devoir aller chercher du bois - tâche le plus souvent réalisée par les plus jeunes membres de la famille.

La digitalisation, coeur du développement de l'hydroélectricité au Mozambique

L’ambition du gouvernement mozambicain est claire : d’ici 2030, tous les foyers mozambicains devraient avoir accès à une électricité durable et abordable.

Cependant, en 2019, le compteur n’affichait encore que 29,6 % : le défi est donc énorme. Et pourtant, le Mozambique dispose d’un potentiel important en matière d’énergies renouvelables, avec des perspectives prometteuses pour l’énergie hydroélectrique et solaire. Aussi, Enabel appuie le gouvernement du Mozambique dans la recherche de solutions pour étudier au mieux la faisabilité de projets hydroélectriques.

En collaboration avec la FUNAE (le Fonds national pour l'énergie du Mozambique), nous avons identifié trois solutions pour étudier au mieux la faisabilité des projets hydroélectriques : les systèmes d'information géographique (SIG), qui analysent de nouveaux sites hydroélectriques potentiels, les données historiques sur les rivières et les précipitations ; les drones, qui permettent de cartographier en détail des zones qui peuvent être très difficiles d'accès et de mesure ; et les mesures du débit des rivières avec l'aide des communautés locales.

La professionalisation de l'élevage au Mali

Au Mali, pays d’agriculture, 30 % de la population tire ses revenus de l’élevage ou de la culture. Depuis plus de trois décennies, le pays est cependant confronté à de fréquents épisodes de mauvaises récoltes.

Pour rendre la population rurale plus résiliente au changement climatique et augmenter les revenus des ménages, Enabel soutient la valorisation de l'embouche : il s’agit d’une forme d’engraissage des ovins, caprins et bovins qui permet d’augmenter les revenus des éleveurs et éleveuses.

Comme l’activité demande nettement moins de déplacements que l’élevage nomade, de plus en plus de femmes choisissent de s’y former afin de diversifier les revenus de leur ménage et de gagner en autonomie. C'est le cas de Nana Sangaré Dembélé, éleveuse dans la région de Koulikoro, qui a pris part à une série de formations pour développer son savoir-faire et est à son tour devenue formatrice :

« Ma formation aux techniques d’élevage et de gestion de l’exploitation m’a permis de diversifier mes sources de revenus. Outre l’élevage bovin, j’ai pu générer de nouveaux revenus à travers la production et la vente de pierres à lécher, que j’ai appris à fabriquer lors de ces formations. »

COP27 : les jeunes du Sahel veulent participer à l'élaboration de l'agenda climatique

Huit jeunes du Burkina Faso, du Niger, du Mali et du Sénégal ont participé au sommet sur le climat en Égypte, où ils ont témoigné de ce que le changement climatique signifie pour eux.

« Les jeunes, et ceux et celles vulnérables assurément, paient un lourd tribut aux conséquences du changement climatique. Il est important que nous fassions entendre notre voix lors de ce Sommet sur le climat, car les ressources naturelles sont limitées et notre avenir est en jeu. »
Balkissa Daoura, cheffe de projet des Jeunes Volontaires pour l’Environnement au Niger

Entrepreneuriat

La mission d'Enabel auprès du secteur privé a pour objectif principal de favoriser une croissance inclusive. Une croissance à laquelle participent les femmes, les jeunes et les groupes vulnérables, mais aussi une croissance qui respecte l'environnement et les normes de travail décent.

Les femmes aux avants-postes de l'entrepreneuriat

À l’initiative de la Ministre de la Coopération au développement et de la Politique des grandes villes, Enabel a lancé le prix Awa. À travers ce prix, la Belgique entend récompenser les initiatives prometteuses d’entrepreneures en Afrique et au Moyen-Orient et promouvoir le leadership féminin. 

Les quatre lauréates sont originaires du Maroc, du Mali, du Rwanda et du Burundi. Elles ont reçu leur prix lors de la cérémonie officielle qui s’est tenue en présence de Sa Majesté la Reine Mathilde et de la Ministre de la Coopération au développement et de la Politique des grandes villes Caroline Gennez.

En élevant des entrepreneures prometteuses au rang de modèles, le prix Awa vise à démystifier l’entrepreneuriat féminin. Il entend démontrer aux hommes et aux femmes qu’entrepreneuriat peut rimer avec réussite sociale, développement personnel et impact positif sur les communautés.

Les lauréates du prix Awa bénéficient d’un coaching professionnel d’une semaine en Belgique, avec des possibilités de networking et de développement des capacités personnelles. Dans leur pays d’origine, un accompagnement professionnel leur sera également fourni pendant un an afin de les aider à développer davantage leur entreprise.  

Du Bénin au Maroc, le pouvoir aux femmes

Au Bénin, nous soutenons la professionnalisation des producteurs d'ananas, afin d'assurer un développement durable de la filière. Nous accordons une attention particulière à l'autonomisation des femmes productrices en réduisant les difficultés liées à leur activité.

C'est le cas de Christiane Gbedji, qui sait désormais tenir un livre de caisse, gérer le budget de son exploitation d'ananas et obtenir un microfinancement pour développer son activité. Avec son mari, elle entrevoit désormais un avenir meilleur pour leur exploitation. Plus de 650 femmes ont déjà suivi le même chemin.

Dans la province de Tata dans la région marocaine de Souss-Massa, la coopérative de services féminine « Tiguisselt » fait beaucoup parler d’elle. Véritable tremplin d’émancipation féminine et vecteur de croissance de l’économie locale, la coopérative propose deux types de services : des actions sociales (telles que la distribution de paniers de Ramadan, de vêtements ou de fournitures scolaires) et des services d’entretien des palmeraies, tels que le nettoyage des champs, le nettoyage des touffes et la récolte.

Selon sa présidente Sarah Siouad, la plus grande réussite de la coopérative est l’autonomisation et l’amélioration de la qualité de vie de ses adhérentes :

« Je constate que les femmes sont plus assertives qu’avant. Elles participent aux formations, vont voir les administrations d’elles-mêmes... [...] La mentalité est en train d’évoluer. L’entreprenariat féminin devient de plus en plus accessible, nous sommes sur la bonne voie ! »

Décollage 100% créatif en Guinée

Soutenir le développement de l'industrie créative et culturelle : voici le pari lancé par l'Union européenne et Enabel via l'initiative "100% créative". Dans une première phase, nous accompagnons, conjointement avec les institutions guinéennes, des acteurs de l’écosystème entrepreneurial et une multitude de partenaires internationaux, une centaine de porteur·es de projets et d’entrepreneur·es culturel·les sur l’axe Conakry-Kindia-Mamou dans les filières mode, design, audiovisuel et digital.

A travers un renforcement des capacités de ces entrepreneur·es et la création de nouveaux emplois dans ces filières, nous aspirons à en faire de véritables leviers du développement économique en Guinée.

Changement de perspective

Les modèles établis ont tendance à façonner notre façon d'agir. Mais il est bon de prendre du recul de temps en temps et de remettre en question nos présomptions. Qu'il s'agisse de pollution atmosphérique, d'un habitat sûr ou d'urbanisme, nous nous associons à des personnes qui investissent dans l'innovation sociale et n'ont pas peur de tester de nouveaux modèles.

Promotion de la santé reproductive et lutte contre les violences basées sur le genre

Au Sénégal, en collaboration avec le Ministère de la santé et de l’action sociale,  Enabel a lancé en décembre 2022, la campagne nationale de sensibilisation « Woolu naa la ci » qui signifie "je compte sur toi". L’objectif : promouvoir auprès des populations cibles des comportements responsables au regard de la prévention et de la lutte contre les violences sexuelles et basées sur le genre, la santé maternelle et infantile, la santé de la reproduction des ados-jeunes.

Pendant six mois, nous avons mené des actions de sensibilisation soutenues par la constitution d’un réseau d’ambassadeurs composé d’artistes et d’influenceur·es, de relais communautaires et d’expert·es de la santé. Plus de 2 millions de personnes ont été touchées par la campagne digitale en mars 2023 et par les 600 diffusions de spots à la télévision et à la radio entre décembre 2022 et mars 2023.

Revisiter le secteur public au Maroc

La modernisation et l’évolution de la société vers un monde de plus en plus digital n’échappent pas à la fonction publique. C’est pourquoi renforcer les services de la fonction publique auprès des citoyens et en améliorer leur gestion font partie de nos missions phares au Maroc.

A travers le projet E-Tamkeen, nous appuyons cette réforme en renforçant les compétences des fonctionnaires au niveau central et local par le biais notamment de formations à l’utilisation d’outils digitaux et de méthodes agiles.

De ce projet est née la compétition « Idarathon » : une contraction des termes Idara - « administration » en arabe - et hackathon. Les fonctionnaires du Maroc y sont amenés à innover pour imaginer des solutions digitales aux challenges de l'Administration Publique.

#EnablingTheFuture

En décembre 2022, Enabel a organisé la première édition de #EnablingTheFuture à Bruxelles, qui a rassemblé plus de 150 participant·es de la scène de l’innovation sociale venant d'Europe, d'Afrique et du Moyen-Orient pour échanger des expériences, partager des connaissances et s'inspirer.

Nonobstant les différences de contextes, nombre des innovateur·rices social·es œuvrent à des solutions à des défis similaires : la science citoyenne pour lutter contre la pollution de l’air, des programmes de codage pour aider les personnes vulnérables et les jeunes à trouver un emploi ou encore des moyens de soutenir les femmes dans leur lutte contre la violence sexuelle. Ces défis transcendent les frontières :

« Nous devons commencer à écouter les entrepreneur·es sur le terrain ».
Gerald Abila, fondateur de Barefootlaw

Pas de développement sans sécurité

Aux yeux du gouvernement nigérien, il est important que la lutte contre le terrorisme s’accompagne de programmes de développement qui améliorent les conditions de vie des 260.000 habitant·es du département de Torodi et garantissent que l’État continue à assumer son rôle de sorte à renforcer la confiance des citoyen·nes dans les services publics et à dynamiser l’économie. 

En réponse à cette demande, la Belgique a été l’un des premiers pays à adopter une approche dite « 3D », dans le cadre de laquelle la Défense, la Diplomatie et la coopération au Développement belges œuvrent de concert à la fourniture d’un appui cohérent.

Architecture durable en Ouganda

Depuis de nombreuses années, l’architecture durable est un des moyens mis en avant par Enabel et ses partenaires pour faire face aux changements climatiques tout en améliorant le confort des usager·es. Cette forme d’architecture bioclimatique s’appuie sur l’optimisation de l’orientation des bâtiments, la protection solaire, l’éclairage et la ventilation naturelle, l’efficience énergétique, les énergies renouvelables, des systèmes de récupération d’eau de pluie, mais également la promotion des matériaux locaux bas carbone.

Enabel utilise cette approche dans différents pays. En Ouganda, elle a été appliquée dans le cadre d'un programme de construction d’écoles de formation technique et d’enseignant·es, financé par la Belgique et mis en œuvre par le ministère ougandais de l'Éducation et des Sports et Enabel.
Le projet a permis de rénover 24 bâtiments et de construire 8 nouvelles installations, offrant ainsi un environnement d'apprentissage inspirant, plus sûr et plus confortable à plus de 2.000 apprenant·es et enseignant·es.

La rénovation des écoles de formation de Mubende et de Kaliro, respectivement dans le centre et l'est de l'Ouganda, a été récompensée par le prix du public lors des Architizer A+ 2022.

2022 sous les projecteurs

Des employés d'Enabel et du Consulat général de Belgique à Jérusalem lors du marathon de Bethlehem

Des employés d'Enabel et du Consulat général de Belgique à Jérusalem lors du marathon de Bethlehem

Des "connectrices" des régions de l'Oriental et du Drâa-Tafilalet en formation

Des "connectrices" des régions de l'Oriental et du Drâa-Tafilalet en formation

La ministre Caroline Gennez et notre directeur général Jean Van Wetter devant notre première voiture électrique en Ouganda

La ministre Caroline Gennez et notre directeur général Jean Van Wetter devant notre première voiture électrique en Ouganda

Des mannequins lors du défilé de mode organisé par le Trade for Development Centre

Des mannequins lors du défilé de mode organisé par le Trade for Development Centre

Un public enthousiaste lors de l'inauguration du centre digital Connect'Elles au Sénégal

Un public enthousiaste lors de l'inauguration du centre digital Connect'Elles au Sénégal

La militante sociale somali-canadienne Ilwad Elman aux bureaux d'Enabel à Bruxelles

La militante sociale somali-canadienne Ilwad Elman aux bureaux d'Enabel à Bruxelles

Le stand du D4DHub aux journées européennes du développement

Le stand du D4DHub aux journées européennes du développement

L'entrepreneure Ayodélé Ognin en formation à Cotonou au Bénin

L'entrepreneure Ayodélé Ognin en formation à Cotonou au Bénin

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Des employés d'Enabel et du Consulat général de Belgique à Jérusalem lors du marathon de Bethlehem

Des employés d'Enabel et du Consulat général de Belgique à Jérusalem lors du marathon de Bethlehem

Des "connectrices" des régions de l'Oriental et du Drâa-Tafilalet en formation

Des "connectrices" des régions de l'Oriental et du Drâa-Tafilalet en formation

La ministre Caroline Gennez et notre directeur général Jean Van Wetter devant notre première voiture électrique en Ouganda

La ministre Caroline Gennez et notre directeur général Jean Van Wetter devant notre première voiture électrique en Ouganda

Des mannequins lors du défilé de mode organisé par le Trade for Development Centre

Des mannequins lors du défilé de mode organisé par le Trade for Development Centre

Un public enthousiaste lors de l'inauguration du centre digital Connect'Elles au Sénégal

Un public enthousiaste lors de l'inauguration du centre digital Connect'Elles au Sénégal

La militante sociale somali-canadienne Ilwad Elman aux bureaux d'Enabel à Bruxelles

La militante sociale somali-canadienne Ilwad Elman aux bureaux d'Enabel à Bruxelles

Le stand du D4DHub aux journées européennes du développement

Le stand du D4DHub aux journées européennes du développement

L'entrepreneure Ayodélé Ognin en formation à Cotonou au Bénin

L'entrepreneure Ayodélé Ognin en formation à Cotonou au Bénin

Ce n'est pas fini ! Notre rapport d'activités papier est disponible sur notre site web :

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Crédits photos : Isabel Corthier, Colin Delfosse, Tim Dirven, Sam Deckers, Elias Halabi, Thomas Hansenne, Or Studio SN, Kristof Vadino
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